Mesdames et messieurs, attachez vos ceintures, car nous sommes sur le point de décoller pour un périple hilarant à Washington avec nos chers Keller-Sutter et Parmelin ! Ce voyage aurait pu être une simple balade au parc, mais disons qu’ils ont réussi à transformer cette visite en un véritable gâteau basique : un peu sec, mais tout de même amusant à regarder. Et surtout, il manque ce délicieux glaçage qui aurait pu la rendre spectaculaire !

la négotiation: un ballet complexe

Commençons par la pièce maîtresse de leur voyage : la négotiation. Quand Keller-Sutter et Parmelin sont arrivés à la table de négociation, les experts s’attendaient à un ballet diplomatique élégant. Mais, il semblerait que nos héros aient plutôt choisi le style « danse du canard », avec des mouvements maladroits et des battements de coude chaotiques. Parce que pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, n’est-ce pas ?

Imaginez une scène où deux chefs cuisiniers tentent de préparer un soufflé avec seulement une poêle à frire et un marteau. Oui, c’était un peu ça l’ambiance. Vous savez, ce moment où l’on comprend qu’on a pris la mauvaise casserole, mais qu’on persévère quand même, espérant que personne ne remarquera. C’est comme ça qu’on résume leur approche de la négotiation : courageuse mais pas forcément logique.

la crise des taxes: quand les pourcentages deviennent des pourcentages

Puis, nous sommes entrés dans le vif du sujet : les taxes. Oh là là ! Les taxes, ce jargon économique aussi mystérieux qu’une recette de mamie. Et bien sûr, nos héros ont décidé de s’engager dans une petite danse des pourcentages. Ce fut un moment aussi clair qu’une soupe à l’oignon. Tentant de discuter de pourcentages de taxes avec des ratios qui semblent sortis d’une équation aussi complexe qu’un épisode de série policière suisse.

Pour être honnête, écouter ces discussions de taxes était comme essayer de suivre une course d’escargot dans du sable mouvant. « Et si nous augmentions la taxe de 5% mais seulement sur les jours ensoleillés ? » Ou, « Réduisons les taxes sur les bretzels, mais uniquement entre 16h et 17h, lorsque le soleil brille directement dans le bureau ovale. » Ah, c’était un festival de créativité !

la rencontre avec Trump: l’art de manier l’absurde

Et enfin, le clou du spectacle, la cerise sur le gâteau (peut-être le glaçage qu’il manquait ?) : la rencontre avec Trump. Oui, vous avez bien entendu, le célèbre, l’inimitable Trump. C’était comme un épisode particulièrement étrange de « Rencontre du troisième type ». Imaginez Keller-Sutter et Parmelin tenter de discuter sérieusement lors d’un dîner où le plat principal est une salade de compliments en boîte, servie avec un ketchup de flatteries.

La rencontre a pris des airs de cabaret lorsque Trump a suggéré une tournée de golf pour régler les différends. Parce que, bien sûr, pourquoi pas un petit swing pour arrondir les angles ? Il faut dire que l’on ne s’attendait pas à un tel moment théâtral, où chaque phrase semblait être tirée d’un scénario de science-fiction. Nos chers suisses avaient l’air aussi perdus qu’un ours polaire dans un désert, mais on apprécie l’effort.

le résultat: des faux pas mais un voyage inoubliable

En fin de compte, que retenir de cette visite ? Des faux pas, certes, mais aussi une belle dose d’humour et de bonne volonté. Comme lorsqu’on observe un enfant essayant tant bien que mal de fabriquer un bonhomme de neige avec du sable. Keller-Sutter et Parmelin n’ont peut-être pas remporté l’or de la diplomatie, mais ils ont certainement remporté notre cœur pour avoir tenté de façon si savoureuse de tirer leur épingle du jeu.

Alors gardons le sourire et remercions nos deux héros suisses pour ce spectacle fascinant digne d’un one-man-show raté, qui restera gravé dans les annales pour son audace et son esprit. Pour le meilleur et pour le rire, je vous dis à très bientôt pour de nouvelles aventures politiques rocambolesques !

Mesdames et messieurs, attachez vos ceintures, car nous sommes sur le point de décoller pour un périple hilarant à Washington avec nos chers Keller-Sutter et Parmelin ! Ce voyage aurait pu être une simple balade au parc, mais disons qu’ils ont réussi à transformer cette visite en un véritable gâteau basique : un peu sec, mais tout de même amusant à regarder. Et surtout, il manque ce délicieux glaçage qui aurait pu la rendre spectaculaire !

la négotiation: un ballet complexe

Commençons par la pièce maîtresse de leur voyage : la négotiation. Quand Keller-Sutter et Parmelin sont arrivés à la table de négociation, les experts s’attendaient à un ballet diplomatique élégant. Mais, il semblerait que nos héros aient plutôt choisi le style « danse du canard », avec des mouvements maladroits et des battements de coude chaotiques. Parce que pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, n’est-ce pas ?

Imaginez une scène où deux chefs cuisiniers tentent de préparer un soufflé avec seulement une poêle à frire et un marteau. Oui, c’était un peu ça l’ambiance. Vous savez, ce moment où l’on comprend qu’on a pris la mauvaise casserole, mais qu’on persévère quand même, espérant que personne ne remarquera. C’est comme ça qu’on résume leur approche de la négotiation : courageuse mais pas forcément logique.

la crise des taxes: quand les pourcentages deviennent des pourcentages

Puis, nous sommes entrés dans le vif du sujet : les taxes. Oh là là ! Les taxes, ce jargon économique aussi mystérieux qu’une recette de mamie. Et bien sûr, nos héros ont décidé de s’engager dans une petite danse des pourcentages. Ce fut un moment aussi clair qu’une soupe à l’oignon. Tentant de discuter de pourcentages de taxes avec des ratios qui semblent sortis d’une équation aussi complexe qu’un épisode de série policière suisse.

Pour être honnête, écouter ces discussions de taxes était comme essayer de suivre une course d’escargot dans du sable mouvant. « Et si nous augmentions la taxe de 5% mais seulement sur les jours ensoleillés ? » Ou, « Réduisons les taxes sur les bretzels, mais uniquement entre 16h et 17h, lorsque le soleil brille directement dans le bureau ovale. » Ah, c’était un festival de créativité !

la rencontre avec Trump: l’art de manier l’absurde

Et enfin, le clou du spectacle, la cerise sur le gâteau (peut-être le glaçage qu’il manquait ?) : la rencontre avec Trump. Oui, vous avez bien entendu, le célèbre, l’inimitable Trump. C’était comme un épisode particulièrement étrange de « Rencontre du troisième type ». Imaginez Keller-Sutter et Parmelin tenter de discuter sérieusement lors d’un dîner où le plat principal est une salade de compliments en boîte, servie avec un ketchup de flatteries.

La rencontre a pris des airs de cabaret lorsque Trump a suggéré une tournée de golf pour régler les différends. Parce que, bien sûr, pourquoi pas un petit swing pour arrondir les angles ? Il faut dire que l’on ne s’attendait pas à un tel moment théâtral, où chaque phrase semblait être tirée d’un scénario de science-fiction. Nos chers suisses avaient l’air aussi perdus qu’un ours polaire dans un désert, mais on apprécie l’effort.

le résultat: des faux pas mais un voyage inoubliable

En fin de compte, que retenir de cette visite ? Des faux pas, certes, mais aussi une belle dose d’humour et de bonne volonté. Comme lorsqu’on observe un enfant essayant tant bien que mal de fabriquer un bonhomme de neige avec du sable. Keller-Sutter et Parmelin n’ont peut-être pas remporté l’or de la diplomatie, mais ils ont certainement remporté notre cœur pour avoir tenté de façon si savoureuse de tirer leur épingle du jeu.

Alors gardons le sourire et remercions nos deux héros suisses pour ce spectacle fascinant digne d’un one-man-show raté, qui restera gravé dans les annales pour son audace et son esprit. Pour le meilleur et pour le rire, je vous dis à très bientôt pour de nouvelles aventures politiques rocambolesques !